« Pourquoi l’être humain aurait-il besoin de transformer le monde et de se transformer lui-même ? C’est en raison de la situation de finitude et de carence spatio-temporelle dans laquelle il se trouve et dont il a un registre de douleur physique et de souffrance mentale. » (Silo, dans plusieurs ouvrages)
La finitude de notre être sous cette forme triple corps-psychisme-esprit nous pousse à nous interroger sur le sens même de notre existence…
Même sans y trouver de réponse, la finitude nous enseigne à quel point, dans ce provisoire des choses, des situations, des relations, des personnes, et de la vie elle-même, tout pourrait prendre un caractère précieux. Se rendre compte de la finitude, outre de permettre d’aller à l’essentiel, devrait nous conduire à ne pas « perdre son temps » (c’est-à-dire sa vie) en conflits stériles ou en vaines recherches.
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